Catégorie : Chansons

  • La Ballade des Humains

    Hé, salut à toi
    Je passais tranquillement par là
    Comme on dit, j’ai vu de la lumière
    Alors je me suis dit « Pourquoi pas
    En profiter, ouais, tant qu’à faire,
    Pour voir des gens que je connais pas ? »
    Arrêter de jouer les solitaires
    Franchement c’est plus sympa comme ça, non ?

    Na na nana na nana na nana na na na na na
    Na na nana na nana na nana na na na na na
    Na na nana na nana na nana na na na na na
    Na na nana na nana na nana na na

    Hé ! Écoute moi !
    Je sais que toi, tu n’y crois pas.
    L’amitié est un grand mystère,
    Alors tu ne t’y risques pas.
    T’as des collègues, mais pas de frères,
    Et tu ne comprends pas pourquoi.
    C’est juste que tu sais pas y faire,
    Faut simplement ouvrir tes bras… non ?

    Hé ! Regarde ça !
    Tous ces humains qui comprennent pas,
    Que c’est pas en faisant la guerre,
    Que l’humanité avancera !
    Moi je pense qu’on pourrait mieux faire,
    Tu sais bien que l’amour ça tue pas !
    Comme on doit se partager la Terre,
    Ça serait con, qu’on s’entende pas… non ?

    Hé, salut à toi
    Je passais tranquillement par là
    Comme on dit, j’ai vu de la lumière
    Alors je me suis dit « Pourquoi pas
    En profiter, ouais, tant qu’à faire,
    Pour voir des gens que je connais pas ? »
    Arrêter de jouer les solitaires
    Franchement c’est plus sympa comme ça, non ?

  • Je vis sur la plage

    Bienvenue chez moi je vous présente ma vie,
    Remplie de béton, de voitures et de soucis !
    Pas de ciel étoilé pas de nature ici,
    Et pourtant bien des gens semblent en être ravis.
    Mais moi ça ne me va pas j’aimerais m’évader !
    Je veux plus me prendre la tête et enfin respirer !
    Alors quand je rentre le soir un peu trop fatigué,
    Je ferme les yeux et je me mets vite à rêver que…

    Je vis sur la plage, avec mon ukulélé !
    Toute la sainte journée, je me ballade à oilpé !

    J’ai vu des endroits charmants et colorés,
    Bien loin de ces monstres de béton et d’acier.
    Des oiseaux qui chantent un air oxygéné,
    Alors qu’ici l’atmosphère pourrait nous tuer.
    Et moi ça ne me va pas vous l’avez bien compris !
    Je veux plus vivre dans un monde qui joue avec ma vie !
    Alors quand je rentre le soir j’invite des amis,
    Et je les emmène avec moi dans ce paradis…

    On vit sur la plage, avec nos ukulélés !
    Toute la sainte journée, on se ballade à oilpé !

    Et soudain, je me dis, que je rêve, que rien n’est vrai,
    Et que ce monde merveilleux, est abstrait…
    Ouais c’est ça ouais !